Trois jours après la mort de son chef, Hassan Nasrallah, dans une frappe israélienne sur Beyrouth, le Hezbollah a fait part, par la voix de son numéro deux et leader par intérim, Naïm Qassem, de son intention de continuer les combats, y compris si l’État hébreu lance un assaut terrestre. De son côté, l’Iran, allié du mouvement chiite libanais, ne prévoit pas de déployer des troupes au pays du Cèdre.