Certains partisans du Hezbollah accusent Téhéran d’avoir lâché le “parti de Dieu” et son leader en rase campagne face à Israël, raconte le quotidien libanais “L’Orient-Le Jour”. Au nom, pensent-ils, d’une ouverture envers les États-Unis, notamment sur le dossier nucléaire, en vue d’un allègement des sanctions.