Le réacteur de Flamanville s’est arrêté automatiquement, le mercredi 4 septembre, au lendemain de son démarrage, marquant un énième revers pour ce chantier national aux nombreux déboires. Pour “The Times”, rien de très rassurant, d’autant qu’EDF est chargé de reconstruire le secteur de l’énergie atomique britannique, en commençant par la centrale de Hinkley Point.