Bien que la réélection frauduleuse, le 28 juillet, du président vénézuélien soit largement condamnée, ce dernier n’a aucune intention de céder le pouvoir. Des pays de gauche d’Amérique latine, comme le Brésil et la Colombie, tentent de négocier une solution, mais Nicolás Maduro n’est prêt à aucune concession.