Quarante kilomètres séparent Tbilissi, la capitale de la Géorgie, des chars, obusiers et autres lance-roquettes stationnés en Ossétie du Sud géorgienne occupée par la Russie. Spécialiste de l’ancien espace soviétique, la grande reporter tchèque Petra Prochazkova s’est rendue dans un de ces villages géorgiens coupés en deux par la ligne de démarcation. Là où les soldats russes repoussent chaque jour ou presque un peu plus la frontière.