Jordan Bardella, interrogé alors sur le passé judiciaire de certains candidats de son parti lors des législatives anticipées, a toutefois déclaré que "ne pas avoir de condamnation à son casier judiciaire est la règle numéro une quand on souhaite être parlementaire de la République". "Cela vaut pour tout le monde", a-t-il assuré, ajoutant toutefois que, s'agissant du cas de Marine Le Pen, "l'appel ne confirmera pas (une éventuelle condamnation en première instance, ndlr) car elle est totalement innocente."