Depuis la fin de son mandat en 2020, l’ex-président enchaîne les convocations devant les juges et à chaque fois, il ne manque pas de rappeler que ces accusations sont, selon lui, des manœuvres pour l’écarter du pouvoir. Pourtant, entre l’immunité partielle accordée par la Cour suprême et les nombreux recours de l’ancien locataire du bureau ovale, les poursuites pénales ont été retardées. Aucune nouvelle condamnation ne devrait être prononcée d’ici le 5 novembre, jour de l’élection présidentielle