Aux Comores, les femmes restent marginales en politique. Actuellement, il n’y a que huit candidates sur cent sept aux législatives, deux ministres sur quinze, dont la porte-parole, et une seule gouverneure élue sur trois. Un contraste saisissant avec les déclarations du président Azali Assoumani, qui prône régulièrement une plus grande implication féminine dans la gestion des affaires de l'État et des postes électifs.