À peine quelques semaines après la destitution du président conservateur Yoon Suk-yeol, qui avait tenté d’imposer la loi martiale dans le pays, c’est au tour du président par intérim, Han Duck-soo, d’être écarté du pouvoir par les députés de l’opposition sud-coréenne. Ces derniers lui reprochent de refuser de pourvoir trois sièges vacants à la Cour constitutionnelle, chargée de valider ou invalider la destitution de son prédécesseur.