Après le passage dévastateur de Chido, les autorités s’organisent pour coordonner les secours, et évaluer les dégâts sur l’archipel. Sur place, l’urgence est toujours de soigner les blessés, de rétablir les différents réseaux et de distribuer aux habitants de l’eau et des vivres. Le trafic aérien, lui, est toujours limité aux avions de secours et aux convois officiels, alors que le Premier ministre François Bayrou doit se rendre sur place fin décembre.