Des soignants expliquent à l’Agence France Presse avoir été contraint de nier tout recours à des armes chimiques devant des enquêteurs internationaux, après une attaque au chlore meurtrière à Douma, près de Damas (Syrie), en avril 2018. Dans cet entretien publié ce lundi 23 décembre, ils disent avoir subi « des pressions » exercées par le pouvoir de Bachar-al-Assad pour fausser leur témoignage.