Le 19 novembre, un collectif de femmes envoyaient une lettre à la Fédération des associations islamiques du Burkina. Une correspondance qui expose l'inquiétude de plusieurs femmes burkinabè, sans nouvelle de leurs maris, qui demeurent introuvables et dont les noms ne figurent sur aucun registre. RFI a pu s'entretenir avec certaines d'entre elles, qui ont donné leur accord pour diffuser leur appel à l'aide anonymement.