Le problème soulevé par le procès des viols de Mazan est d’abord celui de l’inégalité entre les femmes et les hommes, qui génère de la violence, souligne la philosophe Laurence Devillairs. Elle met en garde contre la notion de « consentement », qui apparaît parfois comme un « mot magique », selon elle. « Que vaut le consentement dans une relation inégalitaire ? », interroge-t-elle. Entretien.