Dans un rapport publié jeudi 19 décembre, fruit d’une enquête de près d’un an, Human Rights Watch estime que « les autorités israéliennes privent intentionnellement les civils palestiniens de Gaza d’un accès adéquat à l’eau », commettant ainsi « le crime contre l’humanité d’extermination et des actes de génocide ». L’ONG juge également que ces faits associés aux déclarations de responsables israéliens démontrent « l’intention génocidaire », ce qui peut donc constituer « un crime de génocide ».