Les avocats de Brahim Chnina et Abdelhakim Sefrioui ont contesté, mardi 17 et mercredi 18 décembre, leur implication dans le passage à l’acte du terroriste. Les vidéos qu’ils ont diffusées ne contenaient « aucun appel au crime » et ils n’ont pas agi de manière concertée, selon la défense.