Ce projet de loi permet « au gouvernement de continuer à percevoir les impôts et les taxes existants, jusqu’au vote de la loi de finances de l’année ». Laurent Saint-Martin a précisé qu’il ne « permet donc pas de reconduire les mesures fiscales qui arrivent à échéance à fin 2024 » ni « d’indexer le barème de l’impôt sur le revenu, notamment sur l’inflation ».