Lors de la venue d’une délégation française au Maroc fin octobre, le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, a suggéré que le royaume chérifien avait adopté une forme de gestion du religieux comparable à la laïcité. De quoi susciter d’intenses débats, dans un pays où le souverain est aussi considéré comme le “commandeur des croyants”.