Selon des documents internes révélés par la presse, les libéraux avaient planifié leur rupture avec la coalition du chancelier, le social-démocrate Olaf Scholz, actée le 6 novembre. A moins de trois mois des élections législatives anticipées, le FDP n’est pas assuré d’obtenir les 5 % nécessaires pour être représenté au Bundestag.