Face à l’effet conjugué de la pression immobilière et d’une certaine privatisation de l’espace public, les “splav” accostés sur les bords du Danube et de la Save ferment peu à peu leurs ponts. Avec leur disparition, c’est une certaine contre-culture serbe qui s’éteint, raconte “The Guardian” dans un reportage sur les rives de la capitale serbe.