Avant d’apparaître comme un rouage du « soft power » russe en France, et comme un intermédiaire entre le Front national et le Kremlin, l’Alsacien Jean-Luc Schaffhauser a d’abord cheminé au centre, chez les démocrates-chrétiens. Aujourd’hui, il semble s’être éloigné du parti de Marine Le Pen, englué dans l’affaire des assistants parlementaires européens, un « système » auquel il s’était opposé.