Au sixième jour de son procès d’appel, la nounou accusée d’avoir secoué un bébé de cinq mois, en 2015, a été interrogée plus de huit heures. Elle n’a pas eu la moindre hésitation en déclarant qu’elle n’avait pas maltraité le nourrisson et qu’elle était « incapable de faire du mal, encore moins à un enfant ».