Officiellement, le leader d’extrême droite Geert Wilders ne fait pas partie du gouvernement néerlandais. Dans les faits, il en est le véritable homme fort. Grand ami d’Israël, il n’a pas du tout l’intention de suivre la ligne officielle. Il multiplie donc les marques de soutiens à Nétanyahou, quand ce dernier est visé par un mandat d’arrêt de la CPI. Le gouvernement a toutes les peines du monde à faire croire que la situation est sous contrôle.