Lors de son réquisitoire, qu’il entame lundi 25 novembre, le parquet devrait s’efforcer de torpiller la défense de nombreux accusés qui affirment avoir pensé que Gisèle Pelicot était consentante lors du passage à l’acte sexuel. Leurs avocats estiment que l’intention du viol, c’est-à-dire l’élément moral du crime, n’est pas démontrée. Une argumentation fragile au vu dossier.