On sait l’exercice de la diplomatique climatique fragile et souvent décevant. La 29e conférence des parties sur le climat, qui vient de s’achever à Bakou, en est l’illustration navrante. Sous pression des lobbies, l’impréparation coupable de la présidence azerbaïdjanaise, le règne des intérêts particuliers et l’obstination des pays pollueurs à refuser leur responsabilité historique ont …
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