Qu’est-ce qu’on fait du livre de Jordan Bardella ? C’est la question que nombre de rédactions se sont sans doute posée. Peut-on encore se permettre d’ignorer, de ne rien faire ? Le silence relèverait-il d’une forme de laxisme, de laisser faire ? D’un autre côté, en parler, n’est-ce pas lui faire de la publicité ?