La Fédération hospitalière de France a indiqué, mardi 3 septembre, que les services d’urgences d’un tiers des hôpitaux publics avaient connu des difficultés pendant la période estivale, appelant à une « meilleure répartition » des soins avec les cliniques privées. Ces structures sont en théorie soumises aux mêmes obligations de permanence des soins que le public.