En ce cinquième jour d’un procès hors normes à Avignon (Vaucluse), Gisèle P., la victime des viols de Mazan, 71 ans, a pris la parole pour la première fois, jeudi 5 septembre, devant la Cour criminelle. Les policiers lui ont « sauvé la vie » en « investiguant l’ordinateur » de son mari, qu’elle décrivait dans un premier temps comme un « chic type » avant de le présenter d’un laconique « monsieur P. ».