L’extrême droite l’emporte en Thuringe et fait quasiment jeu égal avec la CDU du ministre président sortant en Saxe, avec à chaque fois près d’un tiers des suffrages. Ces scrutins constituent un échec retentissant pour les partis associés dans le gouvernement du chancelier Scholz qui payent cher leur soumission aux dogmes du marché à l’intérieur et à l’atlantisme en politique étrangère.