Dans une tribune au « Monde », le politiste Bruno Cautrès analyse la récurrence et l’ambivalence du verbe « obliger » dans la bouche du chef de l’Etat. Il se disait « obligé » par le front républicain le soir de sa réélection en 2022, il dit aujourd’hui que la fragmentation de l’Assemblée « oblige » les partis. Mais oblige à quoi ?