Aux États-Unis, mycologues professionnels mais aussi amateurs, de plus en plus nombreux, utilisent les outils de séquençage de l’ADN pour identifier les champignons qu’ils rencontrent en sous-bois. L’objectif : enrichir les bases de données et repérer des espèces qui n’ont encore jamais été décrites, explique “The New York Times”. Troisième épisode de notre série “Champimania”.