Le PS doit-il coller à la stratégie de confrontation totale de Jean-Luc Mélenchon, ou tenter de conquérir une autonomie stratégique lui permettant de jouer sa partie dans l’inextricable situation politique résultant de la dissolution et des résultats des élections législatives? Ce choix paraît aujourd’hui presque infaisable dans la situation où se trouve ce parti et qui résulte de trois méprises, plus ou moins volontaires, dont il est la principale victime.