La France a arrêté le fondateur de la messagerie cryptée le 24 août, l’accusant d’y laisser proliférer les escrocs, les pédophiles et les terroristes. L’interpellation de cet exilé russe relance l’épineux débat de la responsabilité des plateformes et des limites de la liberté d’expression, analyse ce journal conservateur britannique.