Fut un temps gangrenée par les affaires de dopage, l’haltérophilie ne se défait pas de son image. Aux Jeux olympiques, en 2012 et en 2016, plus de trente médailles avaient été réattribuées suite à des contrôles revenus positifs. Malgré les contrôles, puisque 100% des haltérophiles ont été testés par l’ITA avant les épreuves, les soupçons continuent de peser. « On n’est pas sur une même pied d’égalité », regrette cet haltérophile français.
