C’était vendredi dernier, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, sur le toit du Grand Palais : Axelle Saint-Cirel, portant un drapeau bleu et habillée d’une robe blanche et rouge, interprétait une version “beaucoup moins martiale” de La Marseillaise, retravaillée par le compositeur et musicien Victor Le Masne.
Ce vendredi 2 août, dans la matinale de France Inter, elle est revenue sur son expérience et les coulisses de sa représentation : “Psychologiquement, tout se passe avant, quand je suis sur le toit du Grand Palais, en train d’arriver sur le lieu où je vais faire la prestation. À ce moment-là, je suis très fière de représenter la France. Et j’ai peur, je suis stressée. Il est en train de me pleuvoir dessus. C’est un mélange d’émotions. J’ai peur de glisser. Il ne faut surtout pas que je glisse, parce que la séquence n’a pas encore été enregistrée, et la robe doit rester intacte.”
Elle a dévoilé aussi quelques détails sur les préparatifs : “Il n’y a jamais eu de répétition générale”, ajoutant : “On se lève tôt le matin. On part à 5h30. On arrive avant que Paris ne se réveille.” Avant de conclure : “C’était la première fois que tous les éléments étaient réunis.”