À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques, un « outil de surveillance intrusif » va se déployer dans les rues de Paris. La vidéosurveillance algorithmique, rendue légale par la loi JO 2024, est largement critiquée par la Quadrature du Net et Amnesty International, qui y voient une atteinte aux droits fondamentaux et une étape supplémentaire dans la dérive sécuritaire de la surveillance.