La jeunesse dorée du cyclisme français n’a pas peur de quitter le cocon et de s’envoler très vite pour l’étranger. Pas une nouveauté, mais une tendance qui s’accélère depuis plusieurs années et qui ne va pas s’arrêter de suite, tant l’écart financier s’accentue entre les mastodontes du peloton et les formations tricolores.