On le sait, le réchauffement climatique empêche le brassage complet du Léman par lequel oxygène et nutriments viennent jusqu’au fond du lac à -309 mètres. Mais une étude a permis à des chercheurs de l’EPFL une découverte encourageante : le brassage se fait aussi par des courants latéraux entre Petit et Grand Lac