Le parallèle est frappant. Le plan d'arrachage de vignes dans le bordelais prévoit de destiner 4.000 hectares à la renaturation. Dans le même temps, la SNCF en cherche autant pour conduire la compensation environnementale de la future LGV entre Bordeaux et Toulouse. L'entreprise ferroviaire cherche comment s'y engouffrer.