Ils sont 17 membres du gouvernement, ministres sans gros dossier et députés privés du droit de vote à l’Assemblée nationale. Ubuesque, cette situation pourrait prendre fin avec la démission acceptée du gouvernement avant le 18 juillet, date de l’ouverture de la législature. Car le camp présidentiel aura besoin de toutes ses voix pour peser dans l’élection des postes clés au palais Bourbon. Sans empêcher les cumulards de jouer les prolongations.