Le « roman porno » nippon des années 1970 était plus proche de l’art que du cochon, et jouait de façon ambiguë avec le sadomasochisme. Ici il s’exprime par le biais du tatouage, exposant la chair de l’héroïne au plaisir et à la souffrance, leitmotiv de ce joyau de l’érotisme nippon placé sous le signe du kabuki.
