La plupart des accusés, partisans de l’instauration d’une monarchie parlementaire, qui avaient déjà été condamnés en 2013, avaient purgé leur peine, mais n’avaient pas été libérés. Les défenseurs des droits de l’homme dénoncent la « tolérance zéro » des Emirats arabes unis à l’égard de toute forme de dissidence.