Après sa victoire sur la Niji40 en avril dernier, Xavier Macaire se prépare à reprendre la compétition lors de la Drheam Cup / Grand Prix de France de Course au Large. Ce parcours de 1000 milles, reliant Cherbourg à La Trinité-sur-Mer en passant par les côtes anglaises, le phare du Fastnet et la bouée BXA à l'entrée de l'estuaire de la Gironde, s'annonce à nouveau exigeant et riche en défis techniques.
Une équipe solide et expérimentée
Sur cette nouvelle édition, Xavier Macaire naviguera en compagnie de Tanguy Bouroullec, avec qui il a terminé cette année deuxième lors de la première étape Les Sables-Horta.
« Nous sommes en relation régulière sur la performance et l’entretien du bateau, j’aime beaucoup le partage qui existe entre nous depuis la construction de mon Class40 Groupe Snef. Ça me permet, à travers lui, de garder un lien avec les équipes du chantier Structures que j'apprécie particulièrement. »
Fort de ses deux participations à la Mini Transat, le fils du patron du chantier Pogo Structures, apportera non seulement son expérience de navigateur au large sur ce Class40 (Un Pogo S4) construit par la structure paternelle, mais aussi une présence sereine et attentive, précieuse pour l'équipage.
Une nouvelle recrue prometteuse
Le troisième homme, Hugo Cardon, un jeune navigateur prometteur ayant déjà une certaine familiarité avec le Class40 Groupe Snef, sera aussi de la partie.
« Pour cette Drheam Cup, je suis vraiment dans un objectif de partage, de plaisir, d’échange. J’aime naviguer avec de nouvelles personnes qui auront un œil neuf, une vision différente, qui apportent de la fraîcheur, de l’envie, une nouvelle dynamique. »
[caption id="attachment_185121" align="aligncenter" width="334"]
®Team Snef[/caption]
Un parcours technique et exigeant
Le parcours de la Drheam Cup est particulièrement technique, et n'est pas sans rappeler une grande étape de la Solitaire du Figaro, une épreuve que l'ancien figariste Xavier Macaire affectionne tout particulièrement.
« Le défi est sympa, on sait que ce n’est jamais un long fleuve tranquille de monter jusqu’en Irlande, de longer les côtes anglaises. Il se passe toujours beaucoup de choses, les conditions changent, il y a du courant, du trafic. C’est forcément toujours intéressant : on pourrait participer 100 fois à cette Drheam Cup, elle se déroulerait 100 fois de manière différente. »
Une préparation idéale pour les compétitions futures
Cette course constituera également une préparation idéale pour la CIC Normandy Channel Race.
« Cette course sera également une bonne préparation à la CIC Normandy Channel Race, une bonne transition après nos différentes transatlantiques. Et, l’ayant gagnée lors de ma première saison à la barre du Class40 Groupe Snef il y a deux ans, elle a évidemment une place particulière dans mon cœur. »
Source communiqué de presse