Pas très à l’aise au départ et mené 7-5, 2-0, le jeune espagnol a trouvé son rythme pour finalement l’emporter (5-7, 6-4, 6-2, 6-2). Alcaraz a admis qu’il ne se sentait pas à son meilleur niveau sur le court n°1, surtout sous le toit, mais a insisté sur l’importance de trouver des solutions même lorsque les conditions ne sont pas idéales.
En route pour sa sixième demi-finale en Grand Chelem sur ses sept dernières participations, Alcaraz voit cela comme une preuve de régularité et de solidité. Il espère continuer sur cette lancée pour atteindre la finale, soulignant que sa performance constante dans ces tournois met la pression sur ses adversaires. Il se prépare maintenant à affronter Daniil Medvedev en demi-finales, un défi qu’il considère difficile. Alcaraz décrit Medvedev comme un « mur », capable de renvoyer toutes les balles, ce qui le rend particulièrement compliqué à jouer.