Beaucoup d’observateurs ne placent plus le Rassemblement national ou Fratelli d’Italia à l’extrême droite mais parlent de “droite dure”, de “droite radicale” voire de “nouvelle droite”. Dans “The Observer”, le chroniqueur Kenan Malik explique que si les frontières de l’extrême droite se sont brouillées, c’est parce que les partis de gouvernement tendent à reprendre ses idées, qui ne sont pas pour autant devenues défendables.