Mercredi 26 juin, petit matin, refuge de la Coire, à 2 000 mètres d’altitude entre Tarentaise et Beaufortain. Un professeur découvre l’absence de deux de ses lycéens. Il donne l’alerte, prise en charge par le peloton de gendarmerie de haute montagne de la Savoie, à Bourg-Saint-Maurice.