Le gouvernement de l’est libyen, non reconnu par la communauté internationale, s’est prononcé officiellement et pour la première fois sur les accusations d'implication dans la guerre au Soudan. Il a réfuté, dans un communiqué, les nouvelles accusations du général al-Burhan, réitérées ce 18 juin devant le Conseil de sécurité de Nations unies par le représentant soudanais, proche du général al-Burhan. Khalifa Haftar est accusé d'envoyer des armes et des munitions aux FSR du général Hemetti au Soudan.