À l’âge de 60 ans, parfois 80 ans, ils ont découvert qu’ils n’étaient pas orphelins de guerre, mais fils et fille de nazis. Seuls, sans aucun soutien officiel, ils ont commencé à rechercher leurs origines. Aujourd’hui, leurs enfants prennent le relais au théâtre ou en roman graphique pour interroger les silences de l’histoire et font vivre la mémoire de ces victimes non reconnues de la Seconde Guerre mondiale.