Les Pêcheurs de Bretagne (LPDB) publient un panorama chiffré pour mettre en lumière la diversité des navires qui pratiquent le chalutage de fond, le poids économique de cet « art traînant » et les conséquences qu’aurait son interdiction sur l’ensemble de la filière. Rapportant 141 millions d’euros de chiffre d’affaires, le chalut de fond ne relève pas de la « pêche industrielle », défend l’organisation.