Dessiner un “futur inclusif, pluriel et prometteur”. Voilà l’objectif affiché, cette année encore, par le festival Les Femmes S’en Mêlent. L’événement se tiendra du 9 novembre au 1er décembre partout en France, et du 14 au 29 novembre à Paris et Montreuil.
Au programme : des rencontres, des ateliers et des concerts d’artistes émergent·es… Afin de mettre en lumière les artistes féminines ou issues de la communauté LGBTQIA+ : “Une réponse à la sous-représentation des femmes dans la plupart des festivals”, dixit les membres de l’organisation.
Coup de projecteur sur la jeune scène, donc, avec les performances – à Paris – du collectif queer Akira & Le Sabbat, Maddy Street, Marguerite Thiam, du groupe électro Carriegoss ainsi que du duo pop Laventure et de Blanche Biau.
Côté pop-rock, le quintet new-yorkais Habibi ainsi que les Espagnoles de Melenas seront aussi de la fête parisienne. De même que Myriam Gendron, artiste canadienne aux accents plutôt folk, qui se produira également face au public parisien. Quant à celui de Montreuil, il pourra découvrir la dark wave du groupe anglais Linea Aspera.
Au-delà des concerts, Les Femmes S’en Mêlent s’échinent à “[défendre] les artistes dans leur développement de carrières […] tout en promouvant l’égalité Femmes-Hommes dans les musiques actuelles avec [leur] dispositif d’actions”. À savoir des ateliers, des conférences, des projections, des débats… Tout en se revendiquant “premier événement international défendant la création musicale des artistes femmes”. La billetterie, c’est par ici.