FIGAROVOX/TRIBUNE - Alors que l’examen de la loi se poursuit, 75 parents de personnes porteuses de handicap mental appellent à exclure formellement tous ceux touchés par une déficience intellectuelle du texte. Ils craignent que «l’aide à mourir» , en associant la «dignité» à la bonne santé, ne conduise à une dévalorisation des vies jugées «encombrantes».